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Histoire des anciennes voitures de collection et véhicules d'autrefois.

Des voitures de collection anciennes, classés par années de 1800 a 1959, les marques des constructeurs et les grands noms de l'automobile avec leur histoire, en images les automobiles de collection par marques et les non polluantes, recherche diverse sur les anciennes voitures de collection.
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Les voitures automobiles anciennes et les véhicule anciens de collection, v2.



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Mathis Type P ou 6 HP, voiture routière de 1921


La Mathis Type P ou 6 HP, cet ancien véhicule catégorie cyclecar fut produit en 1921, Forme carrosserie : torpedo, Vitesse de pointe : 65 km/h.


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En 1921, Mathis présente la 6 HP ou type P, malgré une mécanique digne de modèles supérieurs, cette petite voiture est classée dans la catégorie cyclecar afin de bénéficier d’une fiscalité plus avantageuse.
- Mélange de techniques motocyclistes et automobiles, le cyclecar dont la vogue sévit dans les années 20, ne peut réglementairement pas dépasser 350 kg et 1100 cm3 de cylindrée.

Concurrente directe de la Citroën 5 HP, la Mathis Type P ou 6 HP se classe parmi les meilleures voitures de sa catégorie.
- Elle remporte même un record de consommation en 1922 en parcourant 100 km avec 2,38 litres d’essence, Mathis lance cette année-là un slogan resté fameux : « Le poids, voilà l’ennemi ! ».

Dans les premières années 20, les voitures Mathis furent équipées d’un moteur en général peu puissant (le modèle T de 1923 n’avait que 628 cm3), dépourvues de différentiel, dotées d’un graissage par barbotage (le rapport extraordinairement élevé étant d’environ 6:1 alors qu’il y avait toujours 4 vitesses).

La société Mathis devint la quatrième marque française, derrière les trois grands : Citroën, Renault et Peugeot, avec une cadence journalière de 75 voitures en 1927.

La société Mathis, comme la société Bugatti, changea de nationalité en 1918, lors du retour de l’Alsace-Lorraine à la France. - Les premières voitures construites à Strasbourg, jusqu’en 1903, ne furent que des prototypes.
- Les premières automobiles vendues au public furent, de 1904 à 1905, les Hermès conçues par Ettore Bugatti, Mathis adjoignit à son affaire la vente des De Dietrich, Panhard et Rochet-Schneider et devint aussi l’agent général, pour l’Europe centrale, de Fiat et Minerva.
- Ce ne fut qu’en 1910 qu’une vraie Mathis fut mise en vente, c’était une 4 cylindres, 2 litres.
- Avant la Première Guerre, la réputation de Mathis fut principalement établie sur des petites 4 cylindres, la Babylette 1100 cm3 et la Baby 1,3 litres.
- Après la Première Guerre, Mathis sortit une jolie petite 4 cylindres, 8/15 CV.
- Dans les premières années 20, les voitures Mathis furent équipées d’un moteur en général peu puissant, le modèle T de 1923 n’avait que 628 cm3.
- La société devint la quatrième marque française, derrière les trois grands : Citroën, Renault et Peugeot.
- En 1925 parut le modèle GM, 4 cylindres 1,6 litres.
- En 1927, Mathis revint à la politique du modèle unique avec la 4 cylindres MY, 1,2 litres.
- Jusqu’en 1935, la société Mathis produisit des conduites intérieures familiales solides.
- En 1934, pour renflouer la société, un accord fut signé avec Ford selon lequel les Ford V-8 destinées au marché français seraient construites dans l’usine Mathis.
- En 1935, les voitures Mathis pourvues d’une suspension indépendante avant et arrière furent les dernières à être vendues sous ce nom.
- En 1954, l’usine de Strasbourg fut vendue à Citroën et une autre grande marque française.

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Histoire Chronologique de l'ancienne marque automobile " Mathis ", France 1905 - 1940.

La société Mathis, comme la société Bugatti, changea de nationalité en 1918, lors du retour de l’Alsace-Lorraine à la France. Les premières voitures construites à Strasbourg, jusqu’en 1903, ne furent que des prototypes, dont une grosse 4 cylindres, 150 x 160 mm, 100 CV.

Les premières automobiles vendues au public furent, de 1904 à 1905, les Hermès conçues par Ettore Bugatti, Bugatti étant devenu un ingénieur indépendant, conseiller technique, Mathis adjoignit à son affaire la vente des De Dietrich, Panhard et Rochet-Schneider et devint aussi l’agent général, pour l’Europe centrale, de Fiat et Minerva.

Ce ne fut qu’en 1910 qu’une vraie Mathis fut mise en vente, c’était une 4 cylindres coulés en un seul bloc, 2 litres, 8/20 CV, à soupapes latérales avec un vilebrequin à 3 paliers, une boîte indépendante 4 vitesses et une transmission par arbre; un modèle plus gros, 2,8 litres, fut à cette époque fabriqué pour Mathis par Stoewer, de Stettin.

Avant la Première Guerre, la réputation de Mathis fut principalement établie sur des petites 4 cylindres de construction soignée, particulièrement la Babylette 1100 cm3 et la Baby 1,3 litres. Après la Première Guerre, Mathis sortit une jolie petite 4 cylindres à soupapes latérales coulées en un seul bloc, 8/15 CV.

Dans les premières années 20, les voitures Mathis furent équipées d’un moteur en général peu puissant (le modèle T de 1923 n’avait que 628 cm3), dépourvues de différentiel, dotées d’un graissage par barbotage (le rapport extraordinairement élevé étant d’environ 6:1 alors qu’il y avait toujours 4 vitesses).

La société devint la quatrième marque française, derrière les trois grands : Citroën, Renault et Peugeot, avec une cadence journalière de 75 voitures en 1927.

En 1924, la voiture de tourisme 6 cylindres fut pourvue de freins sur roues avant et fabriquée jusqu’en 1926.

En 1925 parut une plus grosse conduite intérieure familiale, le modèle GM, 4 cylindres 1,6 litres. En 1927, Mathis revint à la politique du modèle unique avec la 4 cylindres MY, 1,2 litres, conduite intérieure.

Jusqu’en 1935, la société Mathis produisit des conduites intérieures familiales solides, lentes, à soupapes latérales.

En 1929, l’Emysix fut dotée d’une boîte Warner 4 vitesses avec une troisième vitesse silencieuse et, en 1930, furent aussi proposées des 6 plus grosses de 2,4 et 4,1 litres, avec pont hypoïde.

En 1934, pour renflouer la société, un accord fut signé avec Ford selon lequel les Ford V-8 destinées au marché français seraient construites dans l’usine Mathis. Malheureusement, les Matford supplantèrent rapidement les Mathis dans les chaînes de production et celles-là furent produites jusqu’en 1961, la firme étant d’abord sous le contrôle de Ford, puis de Simca.

En 1935, les voitures Mathis pourvues d’une suspension indépendante avant et arrière furent les dernières à être vendues sous ce nom.

Emile Mathis revint en possession de son usine et essaya de remonter le courant avec une étrange petite trois roues traction avant à carrosserie coupé en forme d’œuf dont Jean Andreau avait fait les plans, elle avait une puissance de 80 CV, une boîte 3 vitesses toutes surmultipliées.

En 1954, l’usine de Strasbourg fut vendue à Citroën et une autre grande marque française, sans originalité cependant, disparut.

Source : Encyclopédie des voitures, Edita.




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